Entre les murs de parpaings, des hommes,des femmes, des enfants, passent plus de la moitié de leur temps chez eux. À l’heure des grandes mutations, qu’en est-il des nouveaux modes de vie ?

Co-living, mono-parentalité, primo-accession, les cellules familiales se décomposent et se recomposent à l’envie. Alors que les grands opérateurs immobiliers continuent de vendre des mètres carrés, avons-nous déjà pris le temps de demander à ces homo-habitus ce qu’ils considéraient comme un bon emplacement ? Et concernant le bruit, la sécurité, le confort thermique, les vues, où en êtes-vous ?

La statistique, science arythmétique implacable opérée dans des sondages rapides est-elle capable de détecter l’essence même du besoin quotidien du foyer français type ? Elle peut aider mais elle ne doit pas masquer l’écoute, l’attention, la détection de signaux faibles qui finiront par préfigurer l’émergence de grandes tendances de fond. C’est notre ambition.

Détecter, déceler, faire émerger les non-dits pour mieux comprendre qui achète et pourquoi il achète tel ou tel bien.Quels critères clés, exprimés ou induits déclenchent une décision ? Les opérateurs de l’immobilier souhaitent comprendre ces mécanismes pour mieux adapter leurs produits et leurs offres. À mi-chemin entre marketing, sociologie, urbanisme, nous proposons et organisons des séquences d’observation, de prise de parole pour en extraire ces « signaux faibles » si précieux.

Bien sûr, nous enrichissons ces observations en interrogeant nos voisins européens. Et nous collectons la parole diffuse qui recèle de données précieuses, surtout quand on l’étudie sous un angle différenciant. Vous l’aurez compris, l’observatoire de la promotion immobilière est dédié au progrès de la qualité de vie dans son logement. Ce groupe de travail expérimental se met au service des professionnels du neuf qui veulent comprendre et faire avancer leur métier en plaçant leur acheteur au centre de leur préoccupation.

Partageons cette ambition commune !